Au sujet de : Le Livre de Skell - tome 1 article paru originellement en mars 2012 www.DigitalUnivers.com
Le Livre de Skell, tome 1
Le Livre de Skell est une nouvelle série en deux tomes scénarisée par Valérie Mangin et dessinée par Servain (L’esprit de Warren chez Delcourt). Prochainement, le 18 avril 2012, vous pourrez d’ailleurs découvrir le premier tome d’une nouvelle série de science-fiction intitulée Imperator dans la collection « Quadrants » des éditions Soleil, signé Valérie Mangin en collaboration avec le dessinateur Fafner.
L’histoire du premier tome Livre de Skell, plonge directement le lecteur dans le vif du sujet avec l’exécution du Roi Azolah et la découverte des parasites sur lesquels on ne peut s’empêcher de se poser des questions, à savoir sur leurs origines et qui ils sont. Le concept du parasite fait notamment penser à celui des séries de science-fiction Falling Skies et Stargate SG-1 ou Stargate Atlantis. Dans la première créée par Robert Rodat et Steven Spielberg, les enfants uniquement portent un implant dorsal (sorte de parasite) qui permet aux extraterrestres de les contrôler. Pour les séries Stargate SG-1 ou Stargate Atlantis ou bien le film Stargate, ce sont des « Goa’ulds », race de parasites extraterrestres utilisant les êtres vivants comme hôtes pour prendre leur contrôle. Bien sûr, il ne s’agit là que d’une simple comparaison, car dans le premier tome du Livre de Skell aucune information n’est donnée sur les parasites qui sont implantés sur les êtres humains. On peut juste voir que ce sont des organismes vivants qui, avant d’être implantés, sont plongés dans un liquide pour survivre. Toutefois les réponses se trouveront certainement dans le deuxième et dernier tome où l’on découvrira aussi sûrement ce que contiennent les livres maudits et pourquoi les hérétiques tiennent tant à endormir le parasite pour ne plus avoir de connexion avec Steh-Vah. Des révélations en perspective ! Le scénario est donc mené afin d’attiser la curiosité du lecteur qui peut à ce moment-là imaginer différentes suites.
Finalement, on se met très vite dans la peau du personnage de Skell qui se pose des questions. Côté dessin, Servain possède son propre style ce qui donne à cet album sa propre identité. Sinon pour ce qui est de l’ensemble graphique (disposition des cases…) il reste classique. Ce premier tome présente donc, avant tout, l’univers dans lequel évolue Skell avec ses croyances, son dieu et les rituels en laissant un certain nombre d’interrogations qui donnent envie de découvrir la fin de l’histoire. À suivre !
Staff
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